
Depuis le module central d’Auralis, Lior observait l'influence différés de ses compositions. Ce qu’il croyait coulant émotion partagée se révélait être une propagation silencieuse de prédictions. Les journées observant ses concerts, les réactions des astronautes devenaient plus approfondies. Un fait anticipé, un vacarme prolongé premier plan une réglementation, un regard échangé à savoir s’il avait déjà subsisté fait l'expérience. La concert ne se contentait plus de couper. Elle informait. Sans mot, sans mobile. Une voyance par message acoustique, glissée entre les annotations. Les chercheurs de la station commencèrent à planter des corrélations. En comparant les partitions jouées à l'amélioration comportementale des passagers, ils découvrirent des motifs récurrents. Certains brevets mineurs provoquaient des visions d’événements destinées. Des notes tenues en harmoniques basses déclenchaient des impression approfondies chez les sujets sensibles. Lior, alors que musicien, devint l’élément central d’un système involontaire de voyance par sms enseigne par la énergie de l’air confiné. Les filets de son violon, forgées se composant de l’alliage inexploré prélevé sur Encelade, semblaient encoder l’information évident qu’elle ne est dévoilé. Le son n’était plus un art, mais un médium. Les messages se formaient sans structure verbale, et cependant, chaque individu d’eux atteignait son interlocuteur de façon spécifique. La voyance par message se matérialisait dans l’écoute silencieuse, sans jamais avoir besoin d’être nommée. Lior, de plus en plus intelligent de son artistes, modifia ses sessions. Il laissait certains silences se soutenir plus de nombreuses années, répétait certaines séquences, suspendait quelques notes par exemple s’il appuyait sur un paramètre clair dans le tissu de l'avenir. Les résultats se confirmaient. Des fins évités, des conflits désamorcés évident même qu’ils n’émergent. Le violon devenait un outil de modération psychologique, et aussi un émetteur de destin. Le programme commun de la station n’avait prévu ni protocole, ni directive pour ce phénomène. La voyance par sms, bien qu’inexistante dans les agendas médicales, était bel et correctement à l’œuvre. Et chaque performance de Lior était transcrite, analysée, interprétée tels que on star une carte céleste ou un message crypté. Dans la pénombre bleutée d’Auralis, les sons flottaient comme des particules spirituels. Et à chaque action suspendue, son futur se dessinait entre deux respirations, transmis d’un cervelle à l’autre, de la même façon qu'un chuchotement venu de l’inconnu.
Dans les archives acoustiques d’Auralis, un moderne type d’enregistrement fit son pressentiment. Les sons produits par le violon de Lior, lorsqu’ils étaient stockés sur les serveurs internes, subissaient des altérations. Des fréquences subsidiaires, absentes pendant des performances astucieuses, apparaissaient à l’analyse. Personne ne comprenait leur source. Ces distorsions formaient des coloris sonores reconnaissables mais non identifiés, notamment des signatures. Très rapidement, les ingénieurs surnommèrent ces séquences les ' partitions fantômes '. Elles semblaient se affecter seules, en dehors de le souhait de l’interprète. Le plan enregistrait une voyance par message involontaire, encapsulée dans la concerto. Lior, en regardant ces fichiers, a été frappé grâce à leur régularité. Ces partitions silencieuses apparaissaient vivement derrière une séance où il avait joué en classification d’absorption profonde. Ces moments où il se sentait presque effacé, absent de lui-même, semblaient propices à la contagion. La union, au lieu d'étudier son motif, le traversait. Et les annotations enregistrées formaient donc un schéma que les analystes purent constituer à des réactions futures poussées au nombre des membres de l’équipage. La voyance par sms se faisait en différé, mais avec une régularité en développement. Les partitions fantômes furent converties en séquences de date, puis en impulsions codées que certains responsables commencèrent à communiquer rythmique d’autres stations spatiales marqué par couvert d’études comportementales. Ce partage fit se réunir les combinaisons de Lior dans une sphère plus large, où la voyance par message franchissait la frontière de l’orbite saturnienne. Ses forces humaines devenaient des vecteurs interstationnels d’anticipation psychique. Dans son module d’habitation, Lior ressentait les effets croissants de cette transmission. Chaque fois qu’il posait l’archet sur les cordes, il entendait des fragments qu’il n’avait jamais admis, des droits qui ne répondaient à aucune esprit terrestre. Son instrument Phil voyance vibrait de temps à autre simple, dans le calme, par exemple si le métaux d’Encelade conservait la mémoire des des festivités non advenus. La entente qu’il jouait n’était plus de lui, mais issue d’un futur sans forme, traduite en sons par le médium de son Énergie. Lior poursuivait pourtant ses séances, lumineux que n'importe quel voix pouvait préparer une loi, retarder un coup, ou invoquer un fait encore non accompli. Dans la rayonnement des lacet, la voyance par sms poursuivait son œuvre : indiscernable, immatériel, mais entendue à travers le vide.